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PrÉSentation

  • : Bagnolet en Vert- L'Ecologie à Bagnolet
  • : Ce blog de Bagnolet en Vert- L'Ecologie à Bagnolet est à votre disposition pour vous informer quotidiennement de l'écologie politique et du travail de Pierre MATHON et d'Hélène ZANIER et de leurs amis.
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L'éditorial du blog

planete_bleur_belle_fond_vert.jpg                                                           

Ce blog «Bagnolet en Vert» est le blog d’Hélène Zanier, de Pierre Mathon et de leurs amiEs. Aujourd’hui militantEs associati -fs –ves (à « Bagnolet Ecologie » et Environnement 93, Jardins partagés, « l’Association des Bagnoletais contre la Dette », Romeurope, RESF, Russie-Libertés, Murs-À-Pêches, etc.), après avoir été élus (régionaux, municipaux) et responsables du parti Les Verts, nous entendons contribuer à l’avancée des idées et des projets écologistes.

Penser et agir, globalement et localement, telle est la devise de notre blog écolo,  Vert et ouvert, militant et d’éducation populaire, libre, bagnoletais, intercommunal et planétaire.

Hélène Zanier et Pierre Mathon

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En Vert et avec tous !

Vous pouvez compter sur 

Pierre MATHON
et toute l'équipe de
BAGNOLET EN VERT


* pour l’environnement et le développement durable, 
* pour la démocratie, la citoyenneté et la laïcité,
 
* pour la solidarité et l’égalité des droits, 
* pour l’école, l’éducation et la culture, 
* pour un urbanisme de qualité

 
En Vert et avec tous                                            

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AGENDA

BONNE ANNEE 2015 !

 

Mardi 3 février à 20h30 conseil de quartier de la Dhuys à l'école Joliot-Curie

 

Mercredi 4 février à 19h atelier participatif sur la ZAC Benoit Hure : les espaces extérieurs  et l'occupation de la mairie historique

 

Jeudi 5 février 19h30 salle P et M Curie conseil de quartier des Malassis

 

PETITIONS

Réaction aux propos intégristes d'un élu de la majorité municipale de Bagnolet : pour le droit des femmes à disposer de leur corps

https://secure.avaaz.org/fr/petition/Le_maire_de_Bagnolet_defense_du_droit_des_femmes_a_disposer_de_leur_corps/?sMpnibb

 

« Monsieur le Maire de Bagnolet: Nous vous appelons à créer une maison de quartier et citoyenne dans le quartier de la Dhuys»

http://www.avaaz.org/fr/petition/Monsieur_le_Maire_de_Bagnolet_Nous_vous_appelons_a_creer_une_maison_de_quartier_et_citoyenne/?tUmsDgb

 

Pour que cesse l'acharnement juridique contre la confédération paysanne
 
http://www.cyberacteurs.org/cyberactions/stop-acharnement-conf-865.html

 



 

 

 

 

 

 

 


 

29 octobre 2014 3 29 /10 /octobre /2014 10:27

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La transformation de la chaufferie collective* (qui chauffe la plus grande partie de Bagnolet : plus de 14 000 équivalents logements), qui, de chaufferie au charbon**, passera au bois*** n’est pas prête pour la saison de chauffe, mais le sera vraisemblablement en 2015.

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Les travaux sont en cours.

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Photos prises ce 27 octobre.


Pierre Mathon

 

* Voir nos articles :
février 2014 http://www.bagnoletenvert.com/article-sur-la-chaufferie-de-l-avenue-des-roses-122557026.html

avril 2014 http://www.bagnoletenvert.com/article-travaux-a-la-chaufferie-de-l-avenue-des-roses-123292705.html

juin 2014 http://www.bagnoletenvert.com/article-chaufferie-sdcb-de-l-avenue-des-roses-a-bagnolet-enquete-publique-123913304.html

**Ah, le charbon ! Je me souviens, c’était il y a plus de 30 ans à l’époque où le PC avait des yeux de Chimène pour les houillères( « le mot mineur camarade ») et nous avons dû supporter des tarifs opaques supérieur à la normale  … de 40% … Ils avaient même réussi le tour de force de ne pas fermer le hangar, où le charbon était entreposé, face aux habitations de l’avenue des Roses.

Bagnolet Environnement et l’association Val Fleuri avaient dû se battre pour obtenir une fermeture du hangar à charbon, mais aussi pour imposer que les camions qui acheminaient le charbon soient bâchés.

 

*** La Chaufferie, modifiée, (De fuel + charbon, elle passera à gaz + bois) produira moins de gaz à effet de serre et sera moins taxée.

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19 octobre 2014 7 19 /10 /octobre /2014 10:13

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Cet article, paru dans Bastamag du 3 octobre 2014, sur la production d’énergies renouvelables et les régies communales,
http://www.bastamag.net/Des-fournisseurs-d-energie-publics mérite une lecture attentive :

« Des fournisseurs d’énergie publics, locaux, écolos et rentables... Mais interdits en France !

PAR RACHEL KNAEBEL 

Des dizaines de villes allemandes choisissent de reprendre la main sur leur énergie grâce à des régies communales. Ces entreprises publiques locales gèrent les réseaux, vendent gaz et électricité et s’investissent dans la production d’énergies renouvelables. Elles ouvrent aussi leur capital à des coopératives de citoyens. Pendant ce temps, les grands groupes énergétiques, après avoir encensé le nucléaire, misent toujours sur le charbon, ultra-polluant, et vendent leur électricité plus cher. Le mouvement vers une transition énergétique décentralisée prend de l’ampleur. La France doit-elle suivre l’exemple ? Enquête.

« Aujourd’hui, Il est tout simplement interdit de créer une régie municipale d’énergie en France », déplore Raphaël Claustre, président du réseau pour la transition énergétique Cler. Un mouvement qui viserait à re-municipaliser l’énergie, sur le modèle de ce qui s’est produit pour la gestion et la distribution de l’eau (voir notre enquête), et à favoriser localement le recours à des énergies renouvelables, est donc impossible. Pourtant, 160 régies municipales de l’énergie existent bel et bien en France. Les habitants de Grenoble, Metz, Elbeuf en Normandie ou Péronne en Picardie sont ainsi approvisionnés en électricité ou en gaz par des entreprises locales, aux tarifs réglementés. Plusieurs de ces régies sont 100 % communales. D’autres, comme Gaz et électricité de Grenoble, sont des sociétés d’économie mixte, où la collectivité détient la majorité du capital, à côté d’un groupe privé, GDF Suez dans le cas de Grenoble [1].

Ces régies sont souvent à la pointe en matière d’énergies renouvelables. Celle de Grenoble produit de l’électricité photovoltaïque, éolienne et hydraulique. À Montdidier, dans la Somme, la régie a inauguré en 2011 le premier parc éolien communal de France. Les collectivités françaises gèrent aussi 55 entreprises publiques locales actives dans le champ des énergies renouvelables. Mais ces régies publiques de l’énergie, qui gèrent elles-mêmes leurs réseaux, ne couvrent que 5% du territoire. Ailleurs, c’est-à-dire sur 95 % du territoire français, c’est ERDF qui s’en occupe.

Une situation héritée de 1946, quand l’État nationalise les entreprises privées d’électricité, pour les fondre dans un monopole public, EDF. Depuis, les quelques régies municipales de l’énergie ont survécu. Le service public de l’électricité s’est, lui, affaibli sous les coups de boutoir de « la concurrence libre et non faussée ». Des fournisseurs privés se sont créés. EDF, partiellement privatisée, demeure centrée sur l’électricité nucléaire. Et si le gestionnaire du réseau ERDF reste dans le giron public, il verse 75 % de ses résultats nets à sa société mère, EDF, au lieu de les réinvestir dans les réseaux dont il est censé assurer l’entretien [2]. Quant à la transition énergétique, elle est à la peine : la consommation d’énergie primaire (avant sa transformation en électricité) d’origine renouvelable est passée, en une décennie, de 6% à... 8% [3]. Une progression bien lente, trop lente.

Un millier de régies publiques de l’énergie en Allemagne

De l’autre côté du Rhin, les régies publiques locales d’énergie sont monnaie courante. Il en existe plus d’un millier, entièrement détenue par la collectivité ou en société mixte. Elles fournissent plus de 45 % de l’électricité consommée dans le pays ! Comment expliquer cette différence ? L’Allemagne n’a jamais connu de monopole national dans le domaine de l’énergie. Avant la libéralisation du marché de l’électricité – qui s’est faite dès 1998 outre-Rhin –, il existait des monopoles régionaux. La plupart détenus par les entreprises privées qui ont fusionné pour donner naissance aux quatre grands groupes énergétiques actuels : Eon, RWE, Vattenfall et EnBW. Ces géants de l’énergie sont loin d’être des partenaires idéaux pour des communes qui souhaitent développer les énergies moins polluantes, sans charbon par exemple. Du coup, de plus en plus de villes reprennent en main leurs réseaux et productions d’énergie.

« Nous avons lancé le projet de la régie début 2011, quand la concession de nos réseaux est arrivée à terme. C’était avant Fukushima. Nous voulions être plus indépendant de l’énergie nucléaire à un moment où ce n’était pas encore la tendance, raconte Stefan Altenberger, maire de Kernen, une commune de 15 000 habitants dans le sud-ouest de l’Allemagne. Kernen a créé fin 2012 une régie intercommunale d’énergie, avec trois villes voisines. Celle-ci fournit aujourd’hui de l’électricité à 2 000 des 40 000 habitants de la zone.

La plupart des concessions actuelles sur les réseaux énergétiques allemands ont été accordées il y a une vingtaine d’années. Et arrivent à échéance. L’occasion pour les élus locaux d’y réfléchir à deux fois avant de reconduire une gestion privée. Beaucoup optent pour une gestion publique par une régie municipale, qui devient souvent productrice d’énergie. Depuis 2005, 120 nouvelles régies locales ont ainsi vu le jour en Allemagne ! Et 200 concessions ont été reprises par des régies depuis 2007 [4]. Un mouvement de fond.

Une électricité locale souvent plus « verte » et moins chère

« Les communes dorment pendant 20 ans. Puis, à la fin de la concession, elles se demandent tout à coup ce qu’elle peuvent bien faire », résume Michael Hildebrand, directeur de la régie municipale de Lohmar, près de Cologne. Celle-ci existe depuis 2011. Dans cette ville, c’est RWE – qui exploite les mines de charbon de la Ruhr et plusieurs centrales nucléaires – qui détenait la délégation des réseaux électriques et de gaz. « Nous avons récupéré les concessions cette année. Et nous négocions en ce moment, plus ou moins amicalement, pour racheter les réseaux. » Les sommes en jeu restent secrètes. Mais une telle opération représente beaucoup d’argent pour une petite ville comme Lohmar. Les régies sont-elles alors en mesure de garantir des tarifs raisonnables à leurs usagers ? « Nous proposons des prix plus bas que ceux de l’ancien concessionnaire privé », répond Stefan Altenberger, maire de Kernen. Le kilowattheure fourni par la régie coûte 26 centimes. Ce qui peut sembler énorme en France, où le prix du kW/h, s’il augmente, demeure deux fois inférieur. Il reste cependant sous la moyenne nationale allemande, qui se situe plutôt au-dessus des 27 centimes/kWh (les taxes qui financent notamment le développement des énergies renouvelables y sont beaucoup plus élevées). « Nous avons moins de frais d’organisation », souligne le maire. Autre avantage de taille : « Contrairement à un grand groupe, nous pouvons décider de baisser les gains de la régie pour stabiliser les prix. »

Les régies de Kernen et de Lohmar proposent par ailleurs à leurs clients un abonnement d’électricité verte et achètent le courant à des fournisseurs d’énergie certifiées renouvelables. L’abonnement « vert » est devenu un produit quasi-incontournable des régies locales allemandes. « Quand l’électricité sort de la prise, on ne peut pas savoir si elle a été produite par des énergies renouvelables ou par du nucléaire. Mais plus il y a de personnes qui achètent chez des fournisseurs qui s’approvisionnent en énergies renouvelables, plus il y aura d’énergies renouvelables dans les réseaux », estime Andreas Graf, directeur commercial de la régie municipale de Titiensee-Neustadt, créée en 2011. Celle-ci fournit à ses 600 clients une électricité certifiée « renouvelable ». Elle s’approvisionne auprès de son associée, la plus grande coopérative énergétique d’Allemagne, l’EWS Schönau, qui compte 150 000 clients dans le pays. La coopérative détient 30 % de la régie, la commune en possède 60 %. Les 10 % restants sont entre les mains d’une coopérative citoyenne locale.

Des citoyens impliqués dans la politique énergétique de leur ville

Ouvrir les régies communales à des coopératives citoyennes engagées sur la transition devient une pratique courante en Allemagne. « Certaines régies communales mettent en place un comité des habitants-clients. Mais c’est seulement consultatif. En leur ouvrant leur capital, elles sont obligées de prendre en compte la participation citoyenne », souligne Ralf Lang, président de la coopérative citoyenne de Iéna, en Thuringe. Elle a levé 8 millions d’euros auprès de 800 sociétaires. Et a pu acquérir 2 % de la régie. À Wolfhagen, en Hesse, la participation change d’échelle. Dans cette ville de 12 000 habitants, la coopérative citoyenne locale possède un quart du capital de la régie énergétique !

Ces coopératives citoyennes adoptent un fonctionnement interne égalitaire, sur le principe « une personne, une voix », quel que soit le nombre de parts acquises. L’investissement minimum est de 500 euros, un placement qui est ensuite rémunéré. Ces coopérative fixent en général un plafond maximum par sociétaire, de 5 000 ou 10 000 euros, pour éviter la spéculation. Mais une critique émerge : les membres d’une coopérative, qui disposent des moyens financiers d’y investir, ont de fait plus d’influence sur les décisions d’une régie municipale que les simples citoyens de la commune.

Vers une coopérative citoyenne de l’énergie à Berlin ?

« Il y a des voix critiques qui disent que nous sommes des capitalistes. Mais tout le monde peut devenir membre de notre coopérative. Si on ne peut pas payer 500 euros d’un coup, on peut payer dix fois 50 euros », se défend Wilfried Steinbock, de la coopérative de Wolfhagen. « Depuis que la coopérative est entrée au capital, le directeur de la régie va beaucoup plus à la rencontre des habitants, notamment lors les réunions que nous organisons. Il y parle des projets, des investissements. Ça, c’est vraiment nouveau », note aussi Ralf Lang, de la coopérative citoyenne de Iéna.

Les coopératives citoyennes d’énergie sont devenues des acteurs essentiels de la transition allemande. Le pays en compte aujourd’hui près de 900, avec plusieurs centaines de milliers de membres. La plupart produisent des énergies renouvelables. Quelques-unes investissent dans les régies locales. Certaines ont même essayé d’obtenir elles-mêmes la gestion de réseaux électriques. Sans succès pour l’instant. Dans la ville de Kirchheim, une coopérative déjà fournisseur d’électricité, a tenté en 2013 de reprendre la concession du réseau local. « Mais les élus ont eu peur », regrette Felix Denzinger, de la coopérative Teckwerke Bürgerenergie. C’est finalement la commune qui a repris le réseau. « Si l’argent va au moins dans les caisses de la ville plutôt que chez un géant de l’énergie, c’est déjà ça. » Le coup d’essai de Kirchheim a donné des idées ailleurs en Allemagne. Jusqu’à Berlin. La ville a déjà repris en main la gestion de l’eau. Une coopérative a le projet de reprendre fin 2014 la concession du réseau électrique de la plus grande ville du pays. Objectif : investir les gains dans les énergies vertes.

Et en France ?

En France aussi, le mouvement des coopératives citoyennes de production d’énergie renouvelable prend son essor. Le réseau Énergie partagée en accompagne 35 actives. Avec celles en gestation et en attente de permis, la France en compterait une centaine. Sans oublier Enercoop, la première coopérative française de fourniture d’électricité, créée en 2004, qui approvisionne 18 000 usagers. Mais la loi interdit toujours les collectivités de se lancer dans l’aventure pour accélérer le développement des énergies renouvelables.

Une situation que le Cler a contestée en 2012 devant le tribunal administratif de Paris [5] et par le biais d’une question prioritaire de constitutionnalité (QPC). Avec l’argument que l’interdiction de créer des régies locales contrevient au principe d’égalité des citoyens et à celui de libre administration des collectivités. La contestation est pour l’instant restée vaine. « Les réseaux de distribution d’énergies, qui appartiennent aux collectivités locales, sont donnés en concession à ERDF. Du coup, les élus ne mettent pas trop leur nez dans la manière dont cela est géré. Il faudrait pourtant remettre dans les mains des élus locaux les questions énergétiques », estime Raphaël Claustre, du Cler. Une solution décentralisée pour accélérer la transition.

Rachel Knaebel

Notes

[1] Actionnaire à 42 % du capital de Gaz et électricité de Grenoble via sa filiale Cogac.

[2] L’association de consommateurs UFC Que Choisir dénonçait encore en juin cette situation. Voir ici.

[3] Commissariat général au développement durable, juin 2013.

[4] Chiffres du Verband Kommunaler Unternehmen, groupement des entreprises locales allemandes.

[5] L’association demandait l’annulation d’une décision de la capitale de 2009, qui prolongeait de quinze ans le contrat de concession entre la ville de Paris et ERDF pour la distribution de l’électricité »

 

 

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19 octobre 2014 7 19 /10 /octobre /2014 09:26

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Pour la deuxième année consécutive, la Communauté d'agglomération Est Ensemble participe  en partenariat
avec l’Agence Locale de l’Energie et du Climat MVE, au défi « Familles à Énergie Positive ».

Elle  « recrute » 70 foyers : pourquoi pas vous ?


Il s’agit, pour ces 70 foyers de s’engager, grâce à des gestes du quotidien, à faire des économies d’énergie (chauffage, eau chaude, électricité). Chaque équipe fait le pari d’atteindre au moins 8% d’économie d’énergie sur la saison de chauffe (de décembre 2014 à avril 2015) par rapport à l’année précédente, voire de dépasser les résultats de la saison 1. Les participants se verront remettre un « kit d'économie d’énergie » et seront accompagnés pour réussir ce défi.

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MVE au Forum des Associations de Bagnolet ce 6 septembre dans le parc du Château de l'Etang

« Familles à Énergie Positive » est un concours, créé par « Prioriterre » et porté par l’ADEME, qui vise à mobiliser la population de façon concrète, efficace et conviviale sur la maîtrise des consommations d'énergie et la réduction des émissions de gaz à effet de serre.

Il s’agit de la 6ème édition nationale. Pour la saison 2014-2015, le défi est animé sur 110 territoires (communes, communautés d'agglomération, Pays, départements).

L'année dernière, 7500 familles ont, dans toute la France, relevé le défi avec enthousiasme. Elles ont économisées en moyenne 18% d'énergie.

Les objectifs sont les suivants :

• Faire des économies d’énergie de façon efficace et ludique.

• Comprendre sa facture d'énergie et maîtriser ses consommations.

• Faire le lien entre actions individuelles et impacts collectifs. 

Le principe est simple :

pour participer, des ménages (familles, couples, retraités, étudiants, etc.) suivent leurs consommations à la maison et mettent en place des gestes pour économiser énergie et eau sur le chauffage, l'eau chaude et les équipements domestiques.

Des équipes se constituent en regroupant des foyers et chacune d'entre elles essaie de réaliser un maximum d’économies d’énergie par rapport à l’hiver précédent. Le défi se base sur le progrès globaldes comportements des concurrents : peu importe d’où partent les participants, l’essentiel est qu’ils progressent ensemble.

Le lancement du défi se déroulera le samedi 22 novembre 2014 : présentation du défi, inscription sur le site, création des équipes, ateliers thématiques (lecture de factures, foire aux questions, quiz) et distribution des kits d’économie d’énergie.

Le 1er décembre c'est le top départ. Chaque famille fait la première relève de ses compteurs (électricité, gaz, eau…) et les rentre sur le site internet dédié.

A mi parcours, un premier état d'avancement individuel sera dressé et les ménages réfléchiront collectivement à des pistes d'amélioration.

Le 30 avril, c'est le décompte final : dernier relevé de compteur. Le podium est présenté à l'occasion d'une grande fête et les équipes les plus économes seront récompensées.

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Pour la première édition, les 50 familles participantes nous ont donné leur avis et leurs impressions sur le défi. Leurs résultats ont largement dépassé leurs espérances !

4 données marquantes :

23% d'économies d'énergie en moyenne.

93% des participants considèrent que leurs habitudes ont changé grâce au défi.

11% d'économies d'eau en moyenne.

Le mot qui revient le plus pour qualifier ce défi est "convivial".

 

 

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18 octobre 2014 6 18 /10 /octobre /2014 19:47

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Un petit mot sur la « conf’copro » qui s’est tenue le samedi 11 octobre en mairie de Bagnolet sur la rénovation énergétique des copropriétés..

mve copro bagnolet 11oct14-1

Animée de façon compétente et dynamique par la chargée de mission de MVE en direction des copropriétés, la conf’copro a permis pendant environ deux heures à un peu plus de 15 personnes venues principalement des plus grosses copropriétés de Bagnolet (la rue Louis David dans la Dhuys,  la copro de la Noue, celle de la Capsulerie, et la résidence Victor Hugo dans les Coutures) de découvrir les étapes-clés de la rénovation énergétique en copropriété.

Tout cela produira des résultats dans les mois qui viennent. D’autres copropriétés, plus petites, s’y mettront.

Vous pouvez contacter directement la conseillère au 01 42 87 13 55 ou à
 copro@agence-mve.org. Les conseils de MVE sont gratuits et indépendants.

Mais, sans attendre,  je ne saurais masquer ma satisfaction de voir –enfin – la commune de Bagnolet – avec la nouvelle équipe élue en mars - s’impliquer dans l’agence locale de Maîtrise de l’énergie MVE, à laquelle elle est adhérente depuis 2002*.

Pierre Mathon

 

* MVE, c’est une vieille histoire. J’ai obtenu, en 2002, maire-adjoint à Bagnolet, que la ville de Bagnolet y adhère, rejoignant commune de Montreuil et de Vincennes qui l’avaient créée en 1999. Mais les blocages étaient tels (venant d’Everbecq, mais surtout –à l’époque- du Directeur des Services techniques, que pas grand-chose n’a pu être fait.

Les représentants suivants (S. Villain et A. Baraglioli) - de 2008 à 2013 - se sont vite découragés. Avec les représentants actuels (Cédric Pape et surtout Christiane Pesci), les temps ont changé !

Aujourd’hui, MVE regroupe Montreuil, Vincennes ; Bagnolet, Bondy Le Pré Saint-Gervais, Rosny, Fontenay-sous-Bois, Joinville-Le-Pont et a une convention de partenariat avec Est-Ensemble.

Je siège au conseil d’administration de MVE depuis 2002, dans un premier temps comme représentant de la Ville de Bagnolet, puis –depuis 2008- comme citoyen.

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18 octobre 2014 6 18 /10 /octobre /2014 18:37

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« Camarades, la situation est complexe ». Le communiqué du 16 octobre 2014 des députés EELV, signé Denis Baupin et Cécile Duflot :


« Transition énergétique, pourquoi nous avons dit oui

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Tant qu’à voter oui, Denis Baupin n’aurait-il pas fait un ministre de l’écologie et de l’énergie tout-à-fait présentable ?

Qui dit transition dit progressivité dans l’action.

En votant le projet de loi de transition énergétique, l’Assemblée nationale n’a pas acté un aboutissement : nous avons donné un coup d’envoi. Le coup d’envoi d’une nouvelle donne énergétique et économique, qui place enfin au cœur de la politique française deux combats constitutifs de l’écologie : la sobriété dans les consommations énergétiques et la montée en puissance des énergies renouvelables dans notre mode de production.

Les grands équilibres de la nouvelle donne énergétique française, qui avaient fait l’objet des engagements pris par les écologistes et les socialistes devant les électeurs en 2012 sont tenus : réduction de la part de la production nucléaire à 50% en 2025, mise en cohérence – c’est fondamental- des objectifs climatiques et des perspectives de production énergétique, retour de la puissance publique dans la définition des choix de stratégie énergétique. Ce sont des enjeux environnementaux majeurs, mais aussi une opportunité pour l’économie, pour l’emploi, pour le pouvoir d’achat et pour la souveraineté nationale et européenne.

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Cohérence ? Vous avez dit cohérence ?


Qui dit transition dit cohérence

La grande force du texte voté ce mardi est de mettre en lien des sujets qui sont trop souvent abordés de manière isolée. Sur l’obsolescence programmée, sur les travaux d’isolation des bâtiments, sur la mobilité sobre, sur les outils de financement, sur le recyclage, le gaspillage, sur le rôle des collectivités locales, sur la simplification des procédures pour les énergies renouvelables, sur l’encadrement de la méthanisation agricole, nous avons avancé. Et on ne mesure sans doute pas encore l’importance de la procédure d’autorisation à 40 ans des centrales nucléaires, arrachée par les écologistes, qui répond enfin à un impératif de sûreté et à une exigence démocratique et constitue une vraie révolution culturelle puisqu’elle retire à l’opérateur la toute puissance qui était jusqu’ici la sienne.

Qui dit transition dit constance.

La loi fixe un cadre et un cap. La stratégie bas carbone et la programmation pluriannuelle de l’énergie, qui seront adoptés l’an prochain avant la conférence climat définiront les étapes, et les différents textes budgétaires et réglementaires détermineront les moyens. Inutile de préciser que sur ces deux types de rendez-vous, comme nous l’avons été sur la loi de transition, les écologistes seront présents et combatifs. Les mauvais signes donnés ces derniers jours, notamment sur la fiscalité écologique ou la taxe poids lourd, nous rendent encore plus exigeants et attentifs. Sur ces questions celle de la fiscalité comme celle des transports, la méthode de concertation sur le long terme, de travail collectif qui permet de résister mieux aux lobbys, qui a porté la loi de transition énergétique doit prévaloir. Parce que la démonstration est faite que c’est par la constance, et par l’action des écologistes, qu’on fait le mieux avancer l’écologie.

Mais au pays du tout-nucléaire, qui dit transition dit aussi rupture.

Et de ce point de vue, on mesure sans doute trop peu le signal absolument historique que la France donne au monde en adoptant ce texte. Que le pays le plus nucléarisé du monde s’engage résolument ( Résolument ??? Ndlr) dans une réduction de la part du nucléaire, reconnaisse que l’indépendance énergétique n’est pas compatible avec une dépendance à l’uranium, voilà qui envoie un message clair : le nucléaire, ce n’est pas l’avenir.

Certes, seule l’histoire confirmera, ou non, si ce premier pas sera suivi de nombreux autres. Mais nous estimons que, quelles que soient ces incertitudes, notre responsabilité d’écologistes est de saisir chaque opportunité qui puisse ouvrir le chemin. (Certes il faut saisir chaque opportunité? mais comment comprendre que Cécile Duflot ait quitté le gouvernement –après s’y être trouvée très bien- ? Ndlr)

 

Denis Baupin et Cécile Duflot »

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16 octobre 2014 4 16 /10 /octobre /2014 07:19

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Le député écologiste Noël Mamère (qui n'est plus membre d'EELV mais siège au groupe écologiste à l'Assemblée), s'est abstenu hier sur le projet de loi sur la transition écologique, à la différence de son groupe.

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Il a considéré,  ce mercredi 14 octobre, qu’avec le gouvernement, « entre Mme Royal qui veut plus de voitures sur les routes et Emmanuel Macron qui veut couvrir la France d'autocars, on est loin de la transition écologique »,

« Le gouvernement veut faire croire que la transition écologique peut se faire sans fiscalité écologique »

Répétons-le, la fiscalité écologique consiste à faire payer les pollueurs : elle vient en déduction d’autres taxes. 

Noël mamère a également affirmé que l’intention du gouvernement était de maintenir la centrale nucléaire de Fessenheim. Il dénoncé la position de la ministre de l'Ecologie Ségolène Royal sur la gratuité des autoroutes le week-end, et le projet de loi sur la croissance du ministre de l'Economie Emmanuel Macron, qui prévoit notamment l'assouplissement de la réglementation sur le transport longue distance en autocar.

Pierre Mathon

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15 octobre 2014 3 15 /10 /octobre /2014 12:39

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Le communiqué du 14 octobre 2014 de « France Nature Environnement » :

« Transition énergétique : une mauvaise loi malgré tout

Après plusieurs jours intenses à examiner et amender le projet de loi sur la transition énergétique les députés le voteront aujourd’hui avant qu’il ne soit débattu au Sénat. Malgré quelques améliorations apportées au texte, ce projet de loi n’est pas celui de la transition énergétique. 

Quelques pousses …

Les mesures en faveur de la rénovation thermique des logements, le retour du tiers financement, le carnet de suivi et d’entretien du bâtiment, la rénovation des bâtiments les plus énergivores d’ici 2030, ou l’affichage déporté et en temps réel des consommations, sont des mesures, indispensables pour stimuler la rénovation des logements et informer les consommateurs. De même, l’élaboration du schéma régional biomasse, le tri à la source des biodéchets pour tous les producteurs, la fixation d’objectifs de réemploi dans la commande publique, l’obligation de transparence pour les collectivités quand à leur budget déchets, le frein au développement du Tri Mécano-Biologique ou les plans de déplacement d’entreprise obligatoires à partir de 2018 constituent des avancées.

… au milieu du désert

Malheureusement, ces améliorations demeurent insuffisantes pour atteindre les objectifs ambitieux et pourtant nécessaires pour changer notre modèle énergétique. Pour rénover l’ensemble du parc bâti (tertiaire et logement) d’ici 2050 à un haut niveau de performance énergétique, il faudra bien plus que 500 000 rénovations annuelles de logements. Les bâtiments du tertiaire doivent aussi être rénovés. Pour diviser par deux nos consommations d’énergie en 2050, un objectif de -20% en 2030 est bien trop faible. Alors que la transition énergétique nécessite un investissement de 20 à 30 milliards par an jusqu’à 2050, le gouvernement s’est contenté de promettre la moitié…

« Nous regrettons que le projet de loi ne comporte toujours pas d’objectif chiffré en ce qui concerne le report vers le transport ferroviaire ou fluvial, seul changement fondamental permettant de faire des économies d’énergie dans le domaine des transports » déplore Michel Dubromel, responsable du dossier Transports. «Pour réduire les consommations liées aux transports, ce n’est pas la généralisation de la voiture électrique qui changera la donne mais bien un nouveau modèle de mobilité.»

Denez L’Hostis, président de FNE : « Non seulement ce projet de loi ne présente pas des objectifs assez ambitieux pour engager réellement la transition énergétique mais en plus, les objectifs fixés par le gouvernement ne seront jamais atteints. L’insuffisance des objectifs intermédiaires comme la définition des moyens mobilisés pour mettre en œuvre cette loi sont autant de preuves de l’échec à venir. Cette loi ne définit pas le modèle énergétique de demain mais se contente de retaper un modèle vieux de 40 ans avec un vernis démocratique. La suppression de l’ecotaxe est l’illustration parfaite d’une volonté de ne surtout rien changer au modèle actuel dès lors que cela porte atteinte aux intérêts de quelques lobbies» 
»

 

 

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15 octobre 2014 3 15 /10 /octobre /2014 12:34

transition énergétique image ampoule



Si nous publions ce communiqué appréciant favorablement le vote de la loi de transition énergétique, nous nous permettons cependant de noter le grand écart d’EELV et de formuler ce commentaire « rabat-joie » : si cette loi était aussi bien, pourquoi Cécile Duflot a-telle refusé la proposition de Valls d’un grand ministère de l’écologie et de l’énergie où elle aurait pu impulser une telle politique « historique » … et maintenir la taxe poids lourds (voir autre communiqué d’EELV le même jour)?

logo eelv nouveau

Le communiqué d’EELV du 14 octobre :

« Vote de la loi sur la transition énergétique : les écologistes saluent une loi qui prépare l’avenir

 

EELV se félicite de l’adoption en première lecture à l’Assemblée nationale du projet de loi relatif à la transition énergétique et souligne l’aspect historique de ce vote, concrétisant un long combat pour les écologistes.

Ouvrant une brèche dans le dogme du nucléaire, en actant la réduction de la part de l’atome de 75% à 50% en 2025, la diminution de 50% de la consommation énergétique à horizon 2050 (avec une étape intermédiaire de réduction de 20% d’ici 2030), le déploiement des énergies renouvelables ou la division par quatre des émissions de gaz à effet de serre d’ici 2050, la France tourne enfin la page du passé et s’engage pleinement vers les solutions d’avenir.

Si le dérèglement climatique exige une réponse à la hauteur de ce défi de civilisation, et en cela la transition énergétique en est une, ce projet de loi permettra aussi la création d’emplois, notamment dans le bâtiment (grâce aux rénovations thermiques) ou les transports, et un surplus de pouvoir d’achat pour les ménages, en réduisant la facture énergétique.

Les écologistes resteront toutefois vigilants à la mise en œuvre de ces engagements et rappellent la promesse présidentielle de fermer la centrale de Fessenheim en 2016.

Ils attendent aussi que l’urgence écologique et sociale soit prise en compte dans tous les domaines et que les politiques publiques de transition soient financées par une fiscalité écologique basée sur le principe du pollueur-payeur.

 

Julien Bayou et Sandrine Rousseau, porte-paroles nationaux EELV »

 

 

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15 octobre 2014 3 15 /10 /octobre /2014 12:20

greenpeace anniversaire1

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Voici le communiqué de Greenpeace, ce 14 octobre 2014, sur la loi de transition énergétique adoptée en 1ère lecture par la chambre des députés :

« C’est samedi matin à 6 h 45, que les députés ont fini d’examiner les 2507 amendements au texte de la loi de Transition énergétique, votée ce mardi. Les députés ont ainsi, après de longues (très longues) heures de débats, inscrit la réduction de la part du nucléaire dans la loi. C’est une première pour la France, et un indice d’évolution culturelle…

Mais la réalité de cette loi, c’est que dans un contexte international, et notamment l’accueil de la COP21 (dans la suite des réunions de l’ONU sur les changements climatiques, la réunion de Paris Climat aura lieu au Bourget en décembre 2015. NDLR) à Paris l’an prochain, la France n’a pas terminé le travail… Certains objectifs sont fixés, mais aujourd’hui, tout est encore à faire pour les atteindre.(…)

 

 

http://energie-climat.greenpeace.fr/une-loi-de-transition-energetique-pavee-de-bonnes-intentions?__utma=218051913.944861289 »

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10 octobre 2014 5 10 /10 /octobre /2014 07:11

éc JC 30janv14-1

 

 Suite au courrier de Bagnolet Écologie au sujet des panneaux solaires de l’école Joliot-Curie, nous avons reçu,  hier matin 9 octobre, le courrier suivant de Christiane Pesci, adjointe-au-maire chargée de l'environnement, du développement durable, de l'agenda 21 et des espaces verts.

Toits solaires éc JC 1-2-3

Cette lettre indique (ce que nous avions obtenu par d’autres sources) que les panneaux photovoltaïques sont désormais branchés (depuis janvier 2014) et ajoute que la convention avec ERDF a été signée par Tony Di Martino en juin. Par ailleurs, l’eau chaude sanitaire solaire fonctionne depuis l’ouverture de la nouvelle cantine.

Nous publions la lettre de Christiane Pesci en complément de nos premiers articles: 

cq csud 7oct14-3

 

A la tribune au conseil de quartier de centre sud ce 7 octobre, on reconnaît de gauche à droite, Catherine Denis, Tony di Martino et Christiane Pesci
«
 Suite à votre courrier, je tiens à porter à votre connaissance des éléments concernant les panneaux solaires de l'école Joliot Curie.

Ces derniers sont opérationnels depuis janvier 2014.
L'école primaire est dotée de panneaux solaires de 27 KWatt, l'école maternelle est dotée de membranes solaires de 27 KW 
également.

Le contrat de revente de l'énergie a été signé avec ERDF par Monsieur le Maire au mois de juin 2014.

 

Soucieuse à la fois de la diminution des émissions de gaz à effet de serre comme de la facture énergétique de notre ville, Je m'étais inquiétée du fait dés ma prise de fonction. Ayant eu la réponse au mois de juin j'en ai immédiatement  informé Monsieur Le Bail inspecteur de l'éducation nationale qui s'est engagé à prévenir la directrice de l'école.

 

Pour votre information, nous sommes actuellement en phase d'élaboration du plan climat énergie territorial de Bagnolet en partenariat avec Est Ensemble.

 

Cordialement. »

Nous en profitons pour rappeler la réunion que MVE organise ce samedi 11 octobre à 10 H 30 en mairie à l’intention des copropriétés de Bagnolet sur l’énergie**.

À suivre pour un premier bilan et les activités pédagogiques à venir.

Hélène Zanier


* http://www.bagnoletenvert.com/article-panneaux-solaires-de-l-ecole-joliot-curie-corrections-et-precisions-124748921.html

 et

 http://www.bagnoletenvert.com/article-panneaux-scolaires-de-l-ecole-joliot-curie-bagnolet-ecologie-s-adresse-au-maire-124725387.html

 

 

** http://www.bagnoletenvert.com/article-bagnolet-coproprietes-ce-samedi-a-10-h-30-mve-zoome-sur-les-economies-d-energie-124733648.html

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