Puisque le moment arrive où il faudra bien, avec le peu d'argent qu'ils nous ont laissé, trouver des solutions pour l'hôtel de ville à 40 millions, la vielle mairie abîmée et la place Salvador Allende défoncée et amputée de ses platanes, si on faisait un "zoom" sur la passerelle débile et ruineuse à 700 000 euros ?

Histoire de se rappeler qu’on est dans la m. pendant encore 80 ans à cause de la gestion irresponsable et calamiteuse de l’équipe de branquignols dangereux qui a géré Bagnolet de 2008 à 2014.

700 000 euros pour cette passerelle qui,  en plus d’être inutile et ruineuse, rend problématique l’utilisation de la mairie historique et ne débouche sur rien.

Mais il semblerait, à la lecture notamment de l’audit sur les finances municipales (après que l’auditeur ait épluché les factures des élus municipaux de l’ancienne mandature)  qu’elle débouche sur Cuba (Si !) et sur les hôtels du 16^e.

Merci à Pierre Morin pour la photo et l’idée.

Pierre Mathon

Organisée ce samedi 4 octobre par l’association des commerçants du centre ville, la brocante du centre ville a connu son succès habituel.

Photos.

Pierre Mathon

Ceci est un appel à idées.

Cela fait déjà un bail que nous voyons l’état lamentable dans lequel Everbecq a laissé

- l’ancienne mairie (reliée à la nouvelle avec sa passerelle débile à 700 000 euros qui débouche au dessus de l’escalier)

- et la place Salvador Allende (les algécos ayant été retirés en catastrophe, sans que l’on ne se soit même donné la peine de boucher les trous).

Il est temps d’y remédier autant que possible et avec le peu d’argent qu’Attila a laissé dans les caisses de la commune.

D’où notre appel à idées, si possible réaliste afin d’apporter une contribution citoyenne à cette nécessaire réflexion.

Nous attendons vos propositions et nous en ferons état dans ce blog.

Pierre Mathon

Et si on faisait un peu de tourisme à Bagnolet : ce jeudi 28 août, (rendez-vous

à 14h30 devant la médiathèque) l’office départemental du tourisme nous convie à une balade urbaine dans le centre ville de Bagnolet.

Rien de tel qu’une promenade commentée à pied pour faire connaissance de sa ville. C’est d’ailleurs très pratiqué en matière d’urbanisme, pour autant que l’on veuille faire de l’urbanisme démocratique.

Bon là, il s’agit simplement de faire connaissance avec Bagnolet, ce jeudi.

Lu sur le site internet de la ville :

« LOISIRS

Balade urbaine

Le 28/08/2014 à 14:30

De l'animation du pôle Gallieni au calme d'une petite rue pavillonnaire.

La première Balade Urbaine du 24 juillet 2014 a rencontré un vif succès!

Afin de satisfaire les nombreuses demandes, une deuxième découverte du centre-ville est organisée à l'initiative du Point Information Tourisme de Bagnolet et le CDT93 dans le cadre de l'événement De Visu.

Lors cette promenade urbaine, vous découvrirez le centre-ville. Ce quartier concentre une bonne partie des mutations urbaines qui ont façonné le Bagnolet d'aujourd'hui.
Autrefois gros bourg où l'on cultivait fruits, légumes et fleurs, aujourd'hui Porte Est de la capitale, Bagnolet possède une palette variée de formes architecturales.
Cela tient à son histoire, sa géographie, son économie et la sociologie de ses habitants.

Plus de renseignements sur l'événement: www.seine-saint-denis.fr

Quoi ? Balade urbaine

Quand ? jeudi 28 août 2014 - 14h30

Où? RVD devant la Médiathèque de Bagnolet

Inscriptions : Seine Saint-Denis Tourisme
www.tourisme93.com »

Pierre Mathon

Depuis de nombreuses semaines, le chantier de démolition-construction de l’immeuble situé à l’angle des rues Sadi Carnot et Raoul Berton présente un vrai danger pour les usagers.

Bagnolet Écologie a alerté ce 24 juillet le Maire de Bagnolet à ce sujet. Voici ce courrier :

« Nous souhaitons attirer votre attention sur le chantier de démolition interrompu qui concerne un immeuble situé à l’angle des rues Raoul Berton et Sadi Carnot (au n°39). Ce chantier n’est doté d’aucune protection pour les piétons et l’état d’abandon dans lequel il est depuis de nombreuses semaines crée une dangerosité aggravée à laquelle il convient de mettre fin.

Nous vous saurions gré de mettre en demeure le pétitionnaire-propriétaire de l’immeuble de faire le nécessaire pour mettre fin à cet état de fait et à défaut de sa réaction d’y procéder à ses frais.

Dans l’attente de votre réponse, je vous prie d’agréer nos salutations associatives distinguées.

Le président, Pierre Mathon

Copies à Marie Colou adjointe-au-maire déléguée à l’urbanisme et à Jimmy Parat élu délégué à la voirie »