Rappelons qu'elle n'a pas vraiment a été licenciée, puisqu'il s'agit d'une « rupture conventionnelle » (rendue possible par une loi récente) basée sur les incompatibilités de la directrice avec la gestion municipale.
Certes on peut s'étonner de ce que la municipalité actuelle ne se soit décidée plus tôt - dès 2014 – à procéder à son licenciement « pour faute lourde » et ait continué à supporter cette directrice*.
Mais il est quand même curieux de constater que lors du conseil d'administration de l'OPH ni les représentants des locataires (la Cnl, la Clcv) ni Jocelyne Riou, administratrice, qui se plaignaient - à juste titre – de la gestion de l'OPH par sa directrice centriste (qu'Everbecq-2 avait été chercher en Bretagne) ... n'aient pas voté ce licenciement.
Quoi qu'il en soit, ce licenciement- tardif - de la très everbecquienne directrice de l'OPH, aura le mérite de mettre la municipalité actuelle face à ses responsabilités.
Bref, à suivre.
Pierre Mathon
* Soi dit en passant, la directrice si elle était loin d'être une « lampiste » n'était pas responsable de l'absence systématique du président de l'OPH des réunions des conseils de quartiers où la gestion de l'OPH était mise en cause, dans les Malassis, ou centre sud ... et des réponses - à côté - des élus municipaux présents. Ce ne sont que des exemples.
Pierre Mathon