Bon d’accord, nous sommes en août, mais ce matin jeudi il n’y avait que quatre commerçants au marché du centre ville de Bagnolet : deux « primeurs », le volailler et « le juste prix ».
Et pas le moindre coin d’ombre, depuis que les platanes ont été coupés par Everbecq-Lasseron-Attila (et n’ont pas été remplacés par la municipalité actuelle).
Bon il faudrait le défendre ce marché, avant qu’il ne meure de sa belle mort.
Pierre Mathon