(Bon, j'aurais pu au moins publier sur le blog mon indignation concernant le maintien en prison de Madame sauvage. En espérant que l'hébergeur puisse régler son problème. PM)
L’acharnement dont font preuve les institutions judiciaires à l’encontre de Jacqueline Sauvage, condamnée pour avoir tué, en 2012, un mari qui la battait, interroge au moment où l’on voit - au motif que les prisons sont pleines -, des terroristes et des coupables susceptibles de récidiver ne pas être astreints à rester en prison.
Les citoyen-ne-s ne comprennent pas cette sordide instrumentalisation-bras de fer, entre un président faux-cul et une justice mesquine et revancharde.
À suivre.
Pierre Mathon