Suite à la publication d’un article intitulé « Bagnolet. L'ex-maire visé par une plainte pour détournements de fonds », Laurent Jamet, cité dans cet article, a adressé un « droit de réponse au parisien, qui l’a publié le 21 avril. Ayant reproduit l’article du Parisien
http://lesvertsbagnolet.over-blog.com/2015/04/dans-le-parisien-de-demain-24-000-euros-reclames-a-everbecq.html, nous publions de même (sans commentaire) ce droit de réponse.
« Droit de réponse
Nous publions un droit de réponse de Laurent Jamet, élu PCF de Bagnolet. « Dans un article intitulé L'ex-maire visé par une plainte pour détournements de fonds, publié dans le Parisien daté du 7 avril 2015, en Une de son édition Seine-Saint-Denis, je suis mis en cause pour l'utilisation indue d'une carte d'essence pour la somme de 2 992 € qui, selon le maire, n'a pas de rapport avec (mon) activité d'élu.
L'article indique, en outre, que Monsieur Di Martino me reproche aussi deux voyages effectués en 2009 à Milan et à Toulouse. Je tiens à apporter plusieurs précisions. Je suis bien évidemment en mesure de prouver que ces déplacements ont bel et bien été effectués dans le cadre de mes fonctions de maire-adjoint et non à des fins personnelles. C'est pourquoi je ne crains en rien les questions qui pourraient m'être posées à ce sujet. Je rappelle que le groupe Front de gauche au conseil municipal, dont je suis le président, a demandé dans une déclaration publiée le 28 septembre 2014 que soit établie une transparence totale des actes de chacun. Je ne laisserai se dérouler aucune manœuvre qui conduise à jeter un discrédit sur mon honnêteté ou tenter de faire un amalgame entre l'ancien maire et moi. Rien ne me fera dévier de mon combat pour défendre l'intérêt général des Bagnoletais. »